4 JOURS DE BONHEUR EN VENDEE : JOUR 3
Pour le dimanche, Marie-France nous avait organisé une belle balade sur l’Ile d’Yeu. Elle avait réservé le bateau pour tout le monde, organisé une location de voiture sur place afin de pouvoir faire un petit tour sur l’ïle et prévu le restaurant pour le midi. Nous étions vraiment pris en main de a à z. Super!
Mais avant d’arriver à l’Ile d’Yeu, il fallait traverser. 1 heure de bateau. Pas de problème me direz vous. Pas si sûr. Pour moi, tout à commencé avec beaucoup d’entrein, un sourire sur le visage, les cheveux au vent. Mais très vite ma mine réjouie à fait place pour une coloration passant du blanc vers le jaune, puis vers le vert. Des hauts le coeur, de la salive sur les paroies de la bouche, du brûlant, des crampes, des sueurs, des frissons. Il ne fallait vraiment pas que le trajet se prolonge de quelques kilomètres de plus. Un conseil donc pour tous ceux qui veulent faire une traversée en bateau: quand la mer est agitée (il y avait des creux de sept selon Patrice), ne faites pas comme moi et ne vous mettez pas à l’extérieur, à la pointe du bateau et en sens contraire de la route. Ce n’est pas un bon plan. Et je n’étais pas le seul: Sabine n’était pas en pleine forme non-plus, Math commençait à sentir les effets à 15 minutes de l’arrivée et Xcel c’est laisser aller sur la veste de son ‘papa’ José. Je n’ai heureusement pas de photos de nos mines réjouies en cours de route. Ici dessous, quand tout était encore rose et jouflu.

De plus, pendant que la nausée montait, je devais tenir avec mon bras gauche, une Micky, plus que volante. A chaque coup de vague, elle se soulevait de quelques centimètres et risquait à tout moment de quitter la banquette. J’ai tenu bon un certain moment, mais j’ai du lacher Micky vers les 3/4 du chemin afin de me concentrer à ne pas vomir.
La première chose que nous avons fait (Sabine et moi), c’est d’aller à la pharmacie acheter un médicament pour le voyage de retour. On ne nous y reprendra pas une deuxième fois.

Nous nous sommes baladés quelques instants sur le port. Il y avait un petit marché de légumes pas mal du tout et aussi des pêcheurs qui vendaient leurs prises du jour directement sur le port. Outre les rougets, les crabes et les autres poissons, à nouveau le homard bleu m’hypnotisa. Mais pas moyen d’en acheter. Nous avions prévu de rester la journée sur l’Ile et nous ne pouvions certainement pas conserver correctement du homard. Dommage! Après un petit tour dans le centre du village et quelques achats dans les boutiques de vêtements, les magasins à souvenir, les épiceries fines et les magasins de décoration (j’y ai trouvé une épice que je ne connaissais pas encore: l’Alma Mater), il était l’heure de passer à table.

Le nom du restaurant on ne vous le donnera pas, car nous avons été très très déçus par l’accueil exécrable du personnel. Côté cuisine ce n’étais pas mauvais du tout, mais pas génial non-plus. Un petit plus peut-être pour les excellents desserts. Mais nous n’y retourneront plus.


Après ce repas, Patrice à pris les commandes de la voiture de location et nous a fait découvrir une partie de l’Ile. J’ai adoré. Je suis assez fana des espaces vierges, des paysages, des grands espaces, de la nature non-maitrisée. Et sur l’Ile d’Yeu, on n’est pas déçu.





Nous avons terminé notre visite dans une petite crique avec son petit port très sympatique et sur les falaises. Nous n’avons pas eu le temps de visiter toute l’Ile. Il faudra donc revenir.




Le soir nous avons continué la fête autour des restes des jours précédents et quelques verres de l’amitié en plus. Comme vous pouvez le voir sur la photo, nous sentions à peine la fatigue accumulée.

A bientôt pour la suite,

A mourir de rire votre traversée en bateau ! Je vous croyait plus « forts » que ça ! lol…
Dis-moi Mark, ça veut dire quoi « des creux de 7 » ?
Peut-être que je n’aurais pas fait la fière non plus ?
Bisous.
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Quand à moi, je n’ai pas trouvé celà amusant du tout. Mais une fois sur place c’était très bien. Le retour, pas de problèmes, car mer calme.
Des creux de 7, c’est un terme marin que Patrice utilisait pour déterminer la hauteur des vagues. Je n’en sais pas beaucoup plus.
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Copié-collé exceptionnel et unique (excusez-nous)
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r
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quand remet-on cela??? Le 29…sans creux de 7! ouf! Bizzzz
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Vite vite vite. Dans un jardin, sur la terre ferme. 🙂
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Oh ! nous en avons raté des bons moments !
Mark : le petit gris !
C’est vrai, j’ai la preuve qu’il aime mieux la terre ferme, il dort avec des poules sur les genoux …. pas de creux de 7 juste une ou deux levées de WESTMAEL
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Que veux-tu, quand tu regardes profondément dans les yeux d’une poule, tu ne peux que t’endormir.
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Pas mal la photo sur l’île « d’yeux fatigués ».
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Mais ou vas tu trouver tous ces jeux de mots?
On y retournera certainement si l’Ile d’Yeu le veut!
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Coucou les amis ,
A mon avis , il n’y avait pas que les creux de vague qui tournaient sur l’estomac….
Amitiés ,
Roland
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Oh, la mauvaise langue! Non, non, je t’assure, le bateau je n’ai pas l’habitude, mais le reste, OUI!!! 🙂
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